L.P.
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Pour sa part, le PDG de la Fédération des cégeps, Jean Beauchesne, estime que si le conflit ne se règle pas cette semaine, la session devra se terminer à la mi-août pour certains collèges, empiétant ainsi sur la session automnale. Il n'est toutefois pas question d'annuler la session, a-t-il ajouté.
<< Dans ces collèges-là, il y a eu un minimum de jours de cours. Donc, ce serait une perte sèche s'il fallait mettre ça de côté. On ne vise pas ça du tout. Maintenant, des cohortes conjointes dans une même session, c'est pratiquement impossible à l'automne, parce qu'on va manquer de locaux, on va manquer de professeurs, etc. Donc, ce qu'il faut envisager, si le scénario du pire arrivait, c'est plus d'être déporté à l'automne, et déporter la session d'automne, légèrement, dans la session d'hiver 2013 >>, a expliqué M. Beauchesne en entrevue à Radio-Canada.
Expliquez-moi donc comment la session peut se prolonger jusqu'à la mi-août alors que les professeurs peuvent uniquement enseigner jusqu'à la fin juin.
<< Dans ces collèges-là, il y a eu un minimum de jours de cours. Donc, ce serait une perte sèche s'il fallait mettre ça de côté. On ne vise pas ça du tout. Maintenant, des cohortes conjointes dans une même session, c'est pratiquement impossible à l'automne, parce qu'on va manquer de locaux, on va manquer de professeurs, etc. Donc, ce qu'il faut envisager, si le scénario du pire arrivait, c'est plus d'être déporté à l'automne, et déporter la session d'automne, légèrement, dans la session d'hiver 2013 >>, a expliqué M. Beauchesne en entrevue à Radio-Canada.
Expliquez-moi donc comment la session peut se prolonger jusqu'à la mi-août alors que les professeurs peuvent uniquement enseigner jusqu'à la fin juin.