J'en ai une autre pas pire
20 ans, première année d'université, Ste-Foy, Mercredi bar open pour 10$ dans un bar pas loin de chez nous avec une gang de boys. Vers 2h dans un état d'ébriété très avancé, je me retourne chez nous à pied, j'arrive dans mon bloc, monte au 2e, ouvre ma porte d'appartement, je rentre, je marche jusqu'au salon, rouvre la lumière pis je me rend compte que je suis pas chez nous pentoute (maudite rue avec des bloc toute pareil). Dans la chambre du fond, j'entend une voix de monsieur qui dit "Suzanne ?" et puis je ferme la lumière... *[silence]* "SUUUU-ZAANNNE" *[silence]*, et la je l'entend se lever. Il est vraiment trop tard pour retourner à la porte, je suis trop chaud, pas tellement bright, je décide de me cacher l'autre bord du divan à coté d'une plante caché par une petite table avec une lampe dessus.
Le monsieur en bobette se lève, confu, il ouvre tout les lumières, regarde partout, se gratte la tête et semble se demander si c'était pas un rêve. Je le vois très bien tourner dans l'appartement. Finalement il referme les lumières et retourne se coucher. Dès que je l'ai entendu su remettre au lit, j'ai attendu un 10 secondes de silence avant de calisser mon camp à course. Le problème c'est qu'en me levant, avec l'adrénaline mélangé avec l'alcool dans mon sang, je fais tomber la petite table avec la lampe... BING BANG... Je vois rien, je suis ben saoul, pars à course, je me barre le genou dans l'autre table au milieu du salon, AYOYEEE TABARNACKKKKK, continue de courir vers la sortie, rouvre la porte le plus vite que je peux, BANNNNNNNG dans l'mur la criss de porte, sors de l'appart, descend les marches à course, sors dehors, part à course jusque chez nous dans le bloc d'à coté.
Sa pas prit 2 minutes qu'il y avait 3 chars de polices en face du bloc voisin. Je me suis couché tranquille and not à single fuck was given that day